Levons une ambiguïté…
J’ai bien écrit « Chemise à trous » et non « chemise à trou ».
Le passage de « trou »au singulier à l’écrit révèle un tout autre sens à ce vêtement.
Eh oui, pour certaines personnes, la chemise à trou évoque une chemise de nuit d’antan, une pièce de toile longue avec une fente située au niveau du nombril de la femme qui permettait de préserver des regards du conjoint son intimité et son corps.
Une « chemise conjugale » ou encore « chemise à faire un chrétien » propre à respecter le devoir conjugal avec un contact minimal sans se lancer dans une folle partie de jambes en l’air. Ainsi, certains ne virent jamais leur femme nue…
Pour ma part, je porte une chemise sans aucune connotation sexuelle. Juste une chemise pratique pour faire passer l’air quand il fait chaud…
Autre temps, autres mœurs 🙂